BF Awards 2013 – Meilleur artiste (grand public): David Aja

David Aja est le Jim Steranko moderne de l’industrie: un artiste innovant qui dissèque magistralement la narration comme les autres. Son art est principalement responsable de faire de Hawkeye la meilleure bande dessinée Marvel actuellement sur les tribunes.

David Aja a littéralement laissé tomber la scène des bandes dessinées américaines sur le dos avec ses visuels sensationnels en 2006 dans la série Immortal Iron Fist, rajeunit le personnage Iron Fist de Marvel avec l’écrivain Matt Fraction. Né dans la même ville en 1977 que Miguel de Cervantes, l’auteur de Don Quichote, Aja semblait destiné à une occupation dans la narration. Après ses études et ses travaux ultérieurs d’illustrateur, il a commencé dans des bandes dessinées avec sa percée internationale apparaissant en 2006 avec le Immortal Iron Fist.

Sa technique hautement graphique pour les bandes dessinées rappelle Jim Steranko, une comparaison en outre renforcée par son travail de figure allongée et sensée. Tout comme Steranko, AJA prend le temps de disséquer la narration, non seulement de diviser les séquences en panneaux, mais d’analyser les personnages et les scènes et de transformer ces éléments essentiels en une externalisation figurative.

Avec sa série la plus actuelle (une fois beaucoup plus avec Matt Fraction), il montre qu’il n’est pas non plus terrifié d’adapter son style de dessin pour s’adapter au sujet. Hawkeye, frais à partir de son passage du film, obtient une série solo en octobre 2012 – et toujours en cours – qui se révèle être frais, branché et innovante à la fois dans les visuels et dans les histoires. Aja s’inspire de l’œuvre graveleuse antérieure de David Mazzuchelli et il transforme Hawkeye en une élégante série Slacker Noir où l’équipe du coloriste Matthew Hollingsworth, le letteur Chris Eliopoulos, et la fraction et Aja travaillent tous ensemble, rebondissant sur les idées de l’autre et s’assurent que tous les Mois, Hawkeye ressemble à la meilleure bande dessinée.

Outre son travail séquentiel, AJA a également fait de nombreuses couvertures inventives. Comme d’habitude, divergeant du style de pin-up statique de beaucoup de couvertures, Aja essaie de capturer l’esprit de l’histoire dans une pièce très graphique, non seulement de grandes œuvres d’art, mais aussi de supporter des couvertures sur les racks de spinner.

Il est donc facile de voir pourquoi David Aja, la personnification de l’industrie de la bande dessinée du réalisateur visionnaire Sam Peckinpah, a remporté le prix du meilleur artiste – grand public. Voici un toast à l’inventivité, essayant toujours de marcher sur la ligne et à beaucoup plus de travail en 2014 de cet artiste exceptionnel. Si vous voulez suivre le travail de David Aja, visitez son blog sur blog.davidaja.com.

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