Albert Hammond-Momementary Masters

Je n’ai pas aimé les coups. J’ai toujours pensé qu’ils allaient bien, mais leur musique ne me relocait pas vraiment. Le travail solo du chanteur Julian Casablanca n’a pas non plus dirigé. Cela semblait toujours hors de attention.

Ensuite, le premier album solo d’Albert Hammond, Gee Keep, qui en 2007 a fait mon top dix. Et il n’a perdu que dans la Bible néon d’Arcade Fire, le retour d’Amy Winehouse à Black, Ga Ga Ga Ga Spoon et quelques autres records phénoménalement formidables. (Inexplicablement, j’ai mis la grande rééducation de Ghostface Killah au-dessus – j’avais tort là-bas, je l’admets.) En 2009, je l’écoutais toujours suffisamment pour que ce soit un finaliste pour ma liste «Best of the Decade».

Alors, son dernier album, Bref Masters, Compare-t-il? Oui. Il est sobre maintenant, s’étant débarrassé d’une habitude de coke et d’héroïne coûteuse, publique et inconfortable, et de retourner pour écrire des chansons pop puissantes comme le single, perdant le contact.

Et puis il y a le bizarrement intitulé Born Slippy, qui n’a rien à terminer avec la coupe renommée d’Underworld…

Ce coup de poing un deux devrait vous inspirer à jeter dix dollars sur iTunes et à acheter ce record. Mais pour le plus proche, Hammond rejoint les goûts de Jimi Hendrix, The Byrds, Shawn Colvin et PJ Harvey en couvrant si bien une chanson de Bob Dylan, il vous fait oublier l’original. Oui, la version de Hammond de “Don’t Think Twice, It’s bien” utilise un appareil de batterie et contraste avec le reste des chansons punky, bagarres et robustes sur l’album – mais c’est le contrepoint idéal. C’est un arrêt de repos à mi-chemin de la balade – et vaut bien l’escale.

Un autre album exceptionnel.

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