Pour votre considération: Marvel’s Wolverine Epic Collection Vol. 1: Madripoor Nights

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• on Apr 07, 2023

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Robert Greenberger

par Robert Greenberger

Collection Epic Wolverine: Madripoor Nights

Dans les années 1980, Wolverine était beaucoup de personnage omniprésent de Marvel, apparaissant apparemment dans chaque titre possible à l’exception de la ligne de bandes dessinées Star. Les fans et les marchands ne pouvaient pas en avoir assez de lui et Marvel était bien plus que ravi d’accueillir la demande. Au début, les principales apparitions du spin-off ont été contrôlées par Chris Claremont, qui lui a fait la réclamation et a maintenu pendant des années. Associés à Frank Miller, ils ont produit la première mini-série sensationnelle qui a ouvert la voie à beaucoup plus de contes solo et maintenant Marvel collecte ces contes dans une série de collections commençant par la collection épique de Wolverine: Madripoor Nights.

Lorsque l’entreprise a pris la décision de créer une anthologie toutes les deux semaines, Wolverine est devenue sa caractéristique de couverture et son célèbre joueur. La première série, «Save the Tiger», de Marvel Comics présente # 1-10 lance les choses suivie d’un conte de prévisualisation autonome de Marvel Age Annual # 4, qui a conduit les lecteurs directement dans la première série en cours de Wolverine et nous obtenons ici les 16 premiers numéros.

Marvel Comics présente # 1. Art de Walter Simonson.

Bien que Claremont ait créé la Principauté de Madripoor dans New Mutants # 32, trois ans plus tard en 1988, il a choisi de mettre les histoires solo de Logan dans ce pays, au sud de Singapour. La petite île est divisée en Hightown et Lowtown et c’est cette dernière portion où Logan traîne. “Aucune politique ici”, observe Wolverine de Madripoor, “tout va – et tout peut acheter.” Avec l’art de John Buscema et Klaus Janson, l’histoire en dix parties poursuit le thème des familles asiatiques en guerre, les thèmes ont été introduits dans la mini-série Miller. La propulsion de l’action est ses rencontres avec des exécuteurs super-alimentés avec des noms comme Roche, Sapphire Styx et Razorfist. Il rencontre également Jessan Hoan qui nous connaissons aujourd’hui par son titre Tyger Tyger (quel est le titre de l’histoire, Readers?). Son histoire relie le premier scénario de Reavers et la met en place comme l’un des personnages cruciaux de ses histoires et de l’univers Greater Marvel.

Cet arc est l’une des premières histoires de Wolverine collectées, à partir de 1992, et continue de rester disponible ici. C’est la bande dessinée noir, que Claremont a excellé et aidé par Buscema et les illustrations atmosphériques de Janson, était une coupe au-dessus des autres histoires de MCP à l’époque. Il y a une ambiguïté morale à beaucoup de personnages et de situations qui font une bonne lecture. Ce n’est pas le meilleur matériel de Claremont, mais certainement un bon goût pour la façon dont une série mensuelle peut sembler avec le thème de l’honneur qui traverse les scènes.

Wolverine # 1

Cette histoire et la série qui ont suivi arrivent à un moment où le monde pensait que les X-Men étaient morts. Les lecteurs d’aujourd’hui pleurent simplement un Logan apparemment mort (pour l’instant de toute façon), mais donne le ton bien pour relire ces aventures. Le coup d’envoi en cours avec Claremont et Buscema se réunissent, mais l’encre Al Williamson apporte une glissière à l’œuvre d’art qui éclaircit une partie de l’obscurité de Madripoor.

Avec Logan Dead, Wolverine porte un déguisement et un costume et se fait passer pour patch (peigner ses cheveux différemment aurait pu contribuer à confondre les gens). Claremont continue de développer et d’étendre la distribution des joueurs de soutien à Madripoor, notamment Archie Corrigan (une idée sournoise du chapeau d’Archie Goodwin, qui a écrit des histoires similaires dans l’agent secret Corrigan Comic Strip). Une fois que nous avons établi le milieu, un cadavre propulse le patch dans sa première histoire impliquant un talisman connu sous le nom de Muramasa Sword, ou la lame noire. Le Silver Samurai vient essayer de trouver la lame aussi, mais il finit par posséder un enquêteur privé et une fois la femme de Spider Jessica Drew, qui devient un joueur récurrent de la série.

Cela suit un autre cadavre qui implique désormais la corruption au sein du gouvernement dirigeant de Madripoor qui concerne finalement l’élite asiatique connue sous le nom de la main.

Wolverine # 8

Les problèmes # 7-8 sont intéressants en ce qu’ils sont invités, The Hulk, lorsque Peter David l’a écrit comme le monsieur à la peau grise et tonalement, ils fonctionnent très bien ensemble. Involontairement, il semble également préparer le terrain pour un transfert. David et l’artiste Gene Colan, fournissent un remplissage pour # 9 et par le numéro 11, il remplace Claremont en tant que scribe de la série. Williamson est également remplacé par le Bill Sienkiewicz beaucoup plus approprié comme Inker et si vous regardez attentivement, il y a deux problèmes vraiment très colorés de Mark Chiarello, bien avant de rejoindre DC.

Wolverine # 11. Art de Kevin Nowlan.

David garde le ton noir mais déplace un peu les engrenages et amène Archie, Patch et Jessica à San Francisco pour un changement de décor. Ils sont là pour aider le frère d’Archie, Burt, mais rencontrent également des vampires, ce qui conduit à la révélation de la pierre de Gehenna, imprégnée de l’esprit de Ba’al.

RemonterMadripoor, David concentre la prochaine histoire sur l’actrice Lindsay McCabe, qui a besoin d’un peu de sauvetage, mais ses problèmes semblent également liés aux pièces de la pierre de Gehenna qui nous emmène à travers le numéro 16 et la fin de ce volume.

Il y a beaucoup d’action, beaucoup de snkits et de barres obliques, un excellent dialogue et des personnages intéressants. C’est la hauteur du développement créatif de Wolverine et une lecture à la fois instructive et divertissante.

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Wolverine Epic Collection Vol. 1: Madripoor Nights

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